4bsinthe

Un dernier hommage au vers de terre et aux abeilles, Et un mollard bien gras dans la face de tout ces connards Qui se putréfient de l'intérieur à force de manger des enfants morts

Mes amis, je vous aime tellement que je ne crois pas qu'un jour je vais mourir. Ici,on anesthésie les plus fertiles et on nourrit les plus pourri. J'observe les innombrables techniques, Et toujours cet appétit, Partout, cherche à s'assouvir, Dans les bras ou la chair de ses convives. Tandis que la mer nous abrite, fidèle au ciel, Elle éclair les mirages, au milieu du naufrage. Gare à celui qui réveillera les endormis, Dans nos berceaux, dans les sables mouvants Nous somme amarré à ce qui nous englouti.

Nous sommes des lucioles Et la mort est un aigle Qui de son large bec Nous aspira au vol. Je suis un messager, un véhicule Je suis onde et corpuscule Comme les pièces de l'univers Je suis transmetteur et récepteur Acteur et spectateur. Anéanti la dualité Il n’y a qu'évolution, révolution Qui jamais ne s'achèvent Qui toujours se renouvellent Chaque été, chaque hiver.